
n’ont eu d’autre cadre de vie que celui de divers chantiers en Loir-et-Cher, Indre-et-Loire et Seine-et-Marne. À la vitesse de 4-5 km à l’heure, ils avaient besoin de plusieurs jours pour se rendre sur place à partir du dépôt blésois. Il fallait bien rythmer son allure sur celle du mastodonte d’acier avec lequel on allait désormais faire vie commune ! On partait pour environ trois ans, au terme desquels on revenait à la case départ pour une révision totale du matériel. C’est là qu’intervenaient des mécaniciens plus spécialisés.